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À PROPOS

    L’auto-stop, ça mène à tout.

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Parfois même à un premier diabolo, à la jonglerie. J’ai appris à me mettre face à un public dans ce cadre: du spectacle de rue au travers de l’Europe. C’était en 1997 et depuis, je porte brillamment mon titre de plus mauvais jongleur professionnel du monde. L’auto-apprentissage n’ayant qu’un temps il a bien fallu que je me forme. Comme une abeille j’ai butiné d’ateliers de théâtre en cours de conservatoire, tâtant du chant et de la déclamation....

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Ca commence à devenir vraiment intéressant en 2001 avec la co-création de la compagnie «Volubilis», dans les Pyrénées-Orientales. 4 ans de travail, d’expérimentation, de création et de « training du comédien», comme ils disent. Et là arrivent, en 2005, deux découvertes: la première fut celle du travail du conteur, positivement extraordinaire au bout d’une chaine séculaire d’oralité, de sagesse cachée derrière les mots, dépassant de très loin celui ou celle qui les porte.

 

Magnifique.

 

La deuxième a été celle du clown, avec en parallèle, Magali Hélias et Philippe Hottier pour son aspect théâtral et Albert Solal pour aller voir ça à l’hôpital. Puis, en vrac, une tournée à pied de deux mois dans les Pyrénées, la création de la Compagnie à galoches, des tournées à cheval et en roulotte, un stage de théâtre et de danses traditionnelles en Inde et des collaborations avec diverses compagnies ...

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